Permettre une mobilité virtuelle et inclusive
La pandémie mondiale a montré combien le digital pouvait apporter des réponses à des situations qui semblaient impossible à imaginer autrement qu’en présentiel. L’enseignement, par exemple, peut être organisé en face à face, en ligne ou en mode mixte (ou hybride).
C'est également le cas de la mobilité internationale. Elle peut être de courte ou de longue durée, synchrone ou asynchrone ; elle peut aussi être physique, virtuelle ou hybride.
Aucune des formes de mobilité apprenante n'est une alternative pour remplacer l'autre, au contraire, chacun peut et doit apporter ses propres opportunités et le développement de compétences particulières.
La mobilité internationale, si elle peut être virtuelle, ne permettrait-elle pas une approche plus inclusive, plus accessible à ces celles et ceux qui en restent éloignés, notamment du fait d’un handicap ?
C'est également le cas de la mobilité internationale. Elle peut être de courte ou de longue durée, synchrone ou asynchrone ; elle peut aussi être physique, virtuelle ou hybride.
Aucune des formes de mobilité apprenante n'est une alternative pour remplacer l'autre, au contraire, chacun peut et doit apporter ses propres opportunités et le développement de compétences particulières.
La mobilité internationale, si elle peut être virtuelle, ne permettrait-elle pas une approche plus inclusive, plus accessible à ces celles et ceux qui en restent éloignés, notamment du fait d’un handicap ?
C’est l’ambition de VIRTUAL MOBILITIES FOR ALL qui vise à accroitre les possibilités de participation au programme Erasmus+ des personnes en situation de handicap, par le biais des mobilités virtuelles.
Suffit-il pour autant de se connecter depuis chez soi via un service de visio-conférence pour faire une mobilité virtuelle ? Comment en faire une pratique qui place le bénéficiaire dans une situation réelle d’action et d’apprentissage ? En quoi et comment les organismes doivent-ils et peuvent-ils y contribuer ? Voilà autant de questions auxquelles ce projet pilote va répondre en se basant sur une approche expérientielle : identifier les compétences requises, former des participants potentiels et intéressées, expérimenter des parcours, en tirer des apprentissages, autant de lignes directrices qui serviront de bases à de futures mobilités virtuelles inclusives.
Suffit-il pour autant de se connecter depuis chez soi via un service de visio-conférence pour faire une mobilité virtuelle ? Comment en faire une pratique qui place le bénéficiaire dans une situation réelle d’action et d’apprentissage ? En quoi et comment les organismes doivent-ils et peuvent-ils y contribuer ? Voilà autant de questions auxquelles ce projet pilote va répondre en se basant sur une approche expérientielle : identifier les compétences requises, former des participants potentiels et intéressées, expérimenter des parcours, en tirer des apprentissages, autant de lignes directrices qui serviront de bases à de futures mobilités virtuelles inclusives.
- Coordinateur du projet : Pädagogische Hochschule Freiburg (Allemagne)
- Pontydysgu SL (Turquie)
- Center for Intercultural Dialogue Association (Macédoine)
- Nexus Europe Ireland Ltd (Irlande)
- Synergasia Enegon Politon